FRISE CHRONOLOGIQUE 1795

fragments percutèrent la calotte glaciaire nord- américaine, tandis que d’autres touchèrent celle de l’Europe du Nord. Les impacts, de fragments de comète d’un mille de large arrivant à plus de 60 000 milles à l’heure, générèrent d’énormes quantités de chaleur qui liquéfièrent instantanément des millions de kilomètres carrés de glace, déstabilisant la croûte terrestre et causant le Déluge universel dont parlent les mythes du monde entier. Pendant des années, les affirmations de Graham Hancock furent ignorées par les universitaires, qui soutenaient qu’il était impossible qu’une civilisation avancée ait habité la Terre il y a des dizaines de milliers d’années. Considéré par beaucoup comme fantasque et par d’autres comme un auteur délirant, la plupart de ses travaux ne furent pas pris en compte par les « experts », qui refusèrent de considérer autre chose que ce qu’ils tenaient fermement pour vrai : une chronolog ie de l’histoire de la Terre façonnée par ces mêmes spécialistes, incapables d’expliquer complètement les nombreux énigmes historiques qui obscurcissent nos origines. Mais soudain, lorsque les chercheurs de l’École d’ingénierie de l’Université d’Édimbourg publièrent un article scientifique, les propos écrits par Hancock passèrent de l’ombre projetée par les académiciens conventionnels à la lumière, où les « experts » se rendirent compte que les théories de Hancock n’étaient pas aussi ridicules qu’ils ne l’avaient cru auparavant. Selon les scientifiques, les gravures de pierre complexes découvertes à Göbekli Tepe, le plus ancien temple de la Terre, constituent la preuve qu’une comète a frappé la Terre aux alentours de 10 000 AEC., provoquant des événements cataclysmiques qui ont détruit la civilisation terrestre. Les mesures situent la strate la plus ancienne de Göbekli Tepe vers 9600 AEC. Il est donc plus ancien de 6500 ans que Stonehenge et de 7000 ans que la plus ancienne des pyramides. Comme l’explique Hancock, il existe des preuves mondiales d’un tel impact massif. Ce rocher spatial en flammes s’écrasa sur notre planète, heurtant la croûte terrestre avec la force de milliers de bombes nucléaires explosant simultanément. Ce cataclysme ex termina plusieurs de nos plus grandes espèces animales et faillit détruire l’humanité. Cependant, comme l’explique Hancock, certains survécurent, comme la tribu Ojibwa des plaines canadiennes, qui parle de l’Étoile céleste rampante à longue queue surgie du ciel et ayant brûlé la terre.

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10 000 – TURQUIE - GÖBEKLI TEPE ET LE JARDIN D’ÉDEN image image image image Il est difficile de croire que la région semi-désertique et aride où se trouve Göbekli Tepe était un jour remplie de prairies vertes, de bois et de champs d’orge et de blé sauvages. Des troupeaux de gazelles, des volées d’oies et de canards auraient égalem ent abondé.

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