FRISE CHRONOLOGIQUE 1795
la Terre à cause de la gravité à la vitesse entre 25 et 40 km/h quel que soit la hauteur au début de leur descente . Ce n’est qu’alors que les gouttes de pluie succombent à la gravité et tombent des nuages. Le processus au cours duquel l’eau se transforme en pluie et chute, est connu collectivement sous le nom de cycle hydrologique. Lorsque les nuages prennent de l’altitude et que la température baisse encore, les petites goûtes d’eau contenues dans les nuages deviennent de petits cristaux de glaces. Ces cristaux retombent sur les montagnes sous forme de neige et forment les glaciers. Cette étape s’appelle « la solidification ». Une fois tombée sur la montagne, la température augmente et l’eau se réchauffe. La neige et les glaciers fondent. L’eau ruisselle et retourne alors vers les rivières et les nappes phréatiques. C’est ce que l’on appelle « la fusion ». C’est pour cela que les changements climatiques pourraient s’avérer catastrophique pour la planète. En cas de réchauffement, certains glaciers fondent et se transforment en liquide. Dans le cas de l’arctique par exemple, cela fait augmenter le niveau de la mer et change les courants marins, ce qui bouscule l’écosystème. image Il y a 4 milliards d’années, notre petite planète bleue était couverte de volcans. Ils libéraient dans l’atmosphère primitive de la vapeur d’eau et des gaz, dont du chlore et du soufre. Quelques centaines de millions d’années plus tard, les océans se sont formés en partie par condensation d’une partie de la vapeur d’eau générée par la formation de notre planète. Ces gaz se sont ensuite dissous dans les océans sous forme de sulfate pour le soufre et de chlore. Il y a quelque 49 millions de milliards de tonnes de sel dissous dans les mers, l'équivalent d'une couche globale de 45 mètres d'épaisseur. En moyenne, un litre de son eau contient 34,7 g de sel, soit l’équivalent de 6 cuillerées à café. L’eau a beau être essentielle à notre survie, plus de 96 % des plans liquides de la planète sont imbuvables pour les humains, car ils contiennent trop de sel. Nous ne pouvons pas boire toute cette eau salée, car nos reins sont incapables d’y faire face. L ’eau salée contient plus de trois fois la quantité de sel normalement présente dans le sang humain. C’est donc ingérable. Le sel s’accumule ensuite et absorbe davantage d’eau, ce qui entraîne une déshydratation. Les océans ne sont pas uniformément salés comme on pourrait le croire. Les eaux du Pacifique équatorial sont faibles en sel, mais les niveaux dans l’Atlantique sont plus élevés. Le Pacifique Nord à une teneur plus faible en sel, à la différence de l’atlantique nord où la concentration est plus élevée. L’océan Indien occidental est élevé, la partie orientale faible. -Sommaire 3 900 000 000 – TERRE - LE SEL DANS LES OCÉANS
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